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Formation en développement psychosocial de l’enfant et de l’adolescent et les modes interventions

Formation en développement psychosocial de l’enfant et de l’adolescent et les modes interventions. Du 20 au 22 mars 2007 A Bobo-Dioulasso. Jour 1. Présentation des participants. Votre nom Votre rôle dans l’Association Qu’est-ce que vous aimeriez apprendre durant cette formation.

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Formation en développement psychosocial de l’enfant et de l’adolescent et les modes interventions

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Presentation Transcript


  1. Formation en développement psychosocial de l’enfant et de l’adolescent et les modes interventions Du 20 au 22 mars 2007 A Bobo-Dioulasso

  2. Jour 1

  3. Présentation des participants • Votre nom • Votre rôle dans l’Association • Qu’est-ce que vous aimeriez apprendre durant cette formation

  4. Présentation de la formatrice Formation: Sexologue Spécialisation en VIH/Sida/ Développement de l’enfant et adolescent/OEV Intervenante Sociale Spécialisation en OEV, genre et VIH Travail: Chercheure en genre/VIH/médias Conseillère PEC OEV Conférencière sur les femmes et sexualité Implication politique sur le genre/VIH/sexualité

  5. Règles durant la formation • Portable sur vibreur • Demander les tours de parole avant de parler au facilitateur • Autres….

  6. Objectif de la formation • Échanger les connaissances des participants sur le développement des enfants et plus spécifiquement sur les enfants infectés et/ou affectés par le VIH/SIDA en but d’améliorer nos interventions

  7. Horaire de la journée

  8. Développement psychosocial de l’enfance 1.1 Définition de concept: Développement: C’est l’action d'évoluer, de progresser, de se complexifier au cours du temps. C’est une suite d’événements, depuis la fécondation de l'œuf jusqu'à l'état adulte, par lesquels un humain arrive à maturité. C’est l’acquisition des caractéristiques psychiques et des comportements complexes (éducation, communication, ...)

  9. 1.1 Définition de concept: Psychosocial: C’est la combinaison des facteurs psychologiques (pensées, comportements, connaissances) et les facteurs sociaux (milieu de vie, sexe, culture, éducation) Enfance: C’est un être humain dont le développement se situe entre la naissance et la puberté. Soit de 0 à environ 12 ans.

  10. 1.1 Définition de concept: Les besoins fondamentaux de l’enfant: • Avoir chaud • Manger • Liens avec les autres humains et jeux • Famille sécurisante et de soutien Les droits de l’enfant: - Dignité, Justice, Paix, Liberté et l’Égalité sans distinction de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance de toute autre situation - Droit à la protection et l'assistance

  11. Les droits de l’enfant: • Droit d’être protégé contre toutes formes de discrimination liées à ses parents. • Droit d’être protégé contre toutes formes de violence, d'atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d'abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d'exploitation, y compris la violence sexuelle - Droit être enregistré aussitôt sa naissance et a dès celle-ci le droit à un nom, le droit d'acquérir une nationalité et, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et être élevé par eux

  12. Les droits de l’enfant: - Droit d'exprimer librement son opinion sur toute question l'intéressant - Droit d’être entendu dans toute procédure judiciaire ou administrative l'intéressant - Droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. - Les deux parents ont une responsabilité commune pour ce qui est d'élever l'enfant et d'assurer son développement

  13. Les droits de l’enfant: - Droit à la santé et de services médicaux - Droit à un niveau de vie suffisant pour permettre son développement physique, mental, spirituel, moral et social. - Droit à l'éducation - Droit au repos et aux loisirs - Droit d'être protégé contre l'exploitation économique et de n'être astreint à aucun travail qui risque de compromettre son éducation, son développement physique, mental, spirituel, moral ou social.

  14. 1.2 Liens avec la famille proche 1.2.1 Théorie de l’attachement: L’enfant pour bien se développer à besoin de stabilité affective, cela passe par la sécurité et la confiance que l’enfant développe envers un adulte. Donc, si l’enfant n’a pas cette stabilité de sécurité et d’affection, il aura des difficultés psychosociales quand il sera plus grand. Nous avons besoins d’être attachés à des êtres stables lorsque nous sommes petits. Ce n’est que lorsque ses besoins de sécurité sont satisfaits que l’enfant peut s’éloigner de la figure qui le sécurise pour explorer ce qu’il ne connaît pas.

  15. 1.2 Liens avec la famille proche Spécificité des enfants affectés par le VIH/SIDA: L’enfant qui vit une situation de stress chronique, comme la pauvreté ou encore la mort d’un parent ou d’un frère ou d’une soeur, ne trouvera peut-être pas dans sa famille immédiate le lien d’attachement à une personne significative dont il a besoin pour réussir sa vie. Dans un tel cas, un autre adulte attentionné et bienveillant, qui peut le guider et avec qui il se sent en sécurité, peut prendre la relève et ainsi réduire les risques de problèmes au niveau du développement.

  16. 1.3 Lien avec la famille élargie Lorsque l’enfant à perdu ses parents, un membre de la famille élargie peut prendre se rôle parental et assurer la sécurité que recherche l’enfant pour se développer. Par contre, certains orphelins sont à risque d’être rejetés ou maltraités par les membres de la famille élargie d’accueil, non pas à cause de la maladie mais plutôt de part la pauvreté.

  17. 1.4 Lien avec les amis (fille/garçons) Les enfants n’ont pas autant de préjugés et de normes que les adultes. Ils sont plus libre de pensé, ce qui permet une facilité sociale d’avoir des amis sans distinction de race, de sexe, de religion, etc. Les garçons et les filles commencent à avoir des différences d’activités mais sont ensemble pour jouer.

  18. 1.5 L’école et le quartier Pour l’enfant, l’école et les voisins constituent son univers. Sortir de ce monde est souvent une grande aventure. Pour les enfants habitués à l’hôpital, il est important qu’il côtoient les mêmes agents de santé et médecins pour les sécuriser.

  19. 1.6 L’importance du développement du langage et du psychomoteur Un mauvais développement du langage = souvent mauvaise sociabilité + mauvaise communication et favorise l’expression de réactions défensives de l’enfant. Associé à des difficultés scolaires, il augmente les réactions négatives de l’enfant. Se traduit par une difficulté à réaliser des tâches dirigées vers un but. Nous devons porter une attention particulière aux enfants avec un retard de langage ou de mouvement du corps et des comportements agressifs

  20. 1.7 Développement moral et troubles du comportement • Vers 7 ans, les enfants connaissent la différence entre le bien et le mal. • Contrairement à l’idée reçue, le trouble des conduites ne se manifestent pas uniquement à l’adolescence mais commence à l’enfance. Cela s’expriment à la maison, à l’école ou à l’extérieur. • Les manifestations telles que les agressions physiques, les mensonges ou les vols d’objets, relativement fréquentes chez le petit enfant, ne deviennent « anormales » que si elles sont très fréquentes et perdurent au-delà de l’âge de 4 ans.

  21. 1.7 Développement moral et troubles du comportement • Lorsque des enfants et des familles sont marginalisés ou rejetés à cause d’une déficience, la pauvreté, la religion, l’isolement, la race, l’analphabétisme, l’origine ethnique ou la maladie, il est probable que leur équilibre affectif et leur adaptation sociale en souffrent énormément. • Cela un sentiment accablant d’impuissance qui agit sur la vie de nombreuses familles affectés par le VIH

  22. Pause café

  23. 1.8 La sexualité des enfants • Les enfants n’ont pas la même notion de sexualité que les adultes. • Pour eux les organes génitaux sont une différence entre les filles et les garçons. Rien d’excitant. • C’est surtout drôle et anodin.

  24. 1.8 La sexualité des enfants • 1.8.2 Les violences sexuelles vécus par les enfants vulnérables. • Les enfants vulnérables se retrouvent souvent sans sécurité et protection adéquate et sont beaucoup plus à risque de vivre des agressions sexuelles. Autant les filles que les garçons. Si un enfant change brusquement de comportement, il faut lui demander s’il a vécu quelque chose de désagréable.

  25. 1.9 Genre 1.9.1 Différenciation fille/garçon Vers l’âge de 5 ans les filles et les garçons se sont reconnus. Ils commencent à avoir des activités différentes mais restent des égaux à leurs yeux. Tranquillement en grandissant, ils vont se séparer pour faire des activités, jusqu’au point de « dénigrer » l’autre sexe. Les garçons vont faire des jeux physiquement actifs Les filles vont faire des jeux axés sur la communication

  26. 1.9 Genre 1.9.2 Les stéréotypes Les stéréotypes s’intègrent dès la naissance de l’enfant. Est-ce une fille ou un garçon? Exemple de stéréotypes: Avantages ou inconvénient?

  27. 1.10 L’intervention 1.10.1 Problèmes de comportements et de santé mentale • On estime que 10 à 20 % des enfants présentent un ou plusieurs problèmes de santé mentale ou de comportement. Les chiffres augmentent habituellement chez les OEV qui n’ont aucun soutien.

  28. 1.10 L’intervention Facteurs de risques Avant d’intervenir, il faut tenter de voir les facteurs qui ont amené un problème chez l’enfant. Les principaux facteurs sont • La pauvreté • Le manque de protection ou stabilité parentale • Violence physique ou morale à la maison • etc..

  29. Pause repas

  30. 1.11 Approches d’intervention • Aider à développer un sentiment de sécurité chez l’enfant en lui offrant un milieu familial à l’abri des dangers, en développant sa confiance, en réglant les conflits et en fixant des limites claires. • Reconnaître les sentiments d’angoisse ressentis dans les périodes de crise familiale, comme dans le cas d’un décès. Encouragez les enfants à parler de ce qu’ils ressentent et répétez-leur que vous les aimez. • Demander de l’aide sans tarder si les enfants sont exposés à des abus ou à une situation de violence familiale.

  31. 1.11 Approches d’intervention • L’intervention rapide en cas de difficulté scolaire facilite la réussite à l’école. De bons résultats scolaires dans les premières années d’école augmentent les chances de réussite scolaire plus tard, favorisent l’adoption d’une attitude plus positive envers l’école ainsi qu’une meilleure image de soi et, chez les garçons, réduient la délinquance juvénile • Les principales stratégies à appliquer pour prévenir et arrêter la brutalité consistent à assurer une bonne supervision des enfants et à leur imposer des conséquences logiques et non violentes en cas d’attitude brutale.

  32. 1.11 Approches d’intervention • Enseigner aux enfants à éviter et à régler les conflits avec leurs frères et soeurs. Surveiller comment les plus vieux traitent les plus jeunes. • Écouter et poser des questions simples. Faites en sortent que l’enfant trouve une solution à son problème en le dirigeant dans sa réflexion. Ne pas toujours lui donner les conseils aussi facilement. Il faut faire travailler sa réflexion. • Dire la vérité à l’enfant. Il comprenne bien et ne remettent pas en question se que vous dites.

  33. 1.11 Approches d’intervention Parler du VIH/SIDA aux enfants: • Les enfants ont déjà entendu parler du VIH/Sida à la télé, à l’école, entre des adultes. Parler aux enfants du VIH et du sida n’est peut-être pas facile, mais il faut qu’ils soient informés et ce,quelle que soit l’ampleur du risque d’infection qu’ils courent. Le VIH/sida nous touches tous. • En fournissant des informations fiables aux jeunes, vous pourrez répondre à leurs questions, satisfaire leur curiosité, atténuer leurs peurs et éviter qu’ils reçoivent des informations fausses. • Vous aiderez également les enfants et les jeunes que vous aimez à faire des choix plus sains.

  34. Parler du VIH/SIDA: Avant de commencer à parler à l’enfant, penser à: • Son âge • Son intelligence ou son niveau de compréhension des choses • Ce qu’il connaît ou suspect à propos de sa santé • Son état de santé, les symptômes qu’il a, ses médicaments • Ses conditions de vie • Les questions que vous voulez lui poser • Les inquiétudes qu’il peut avoir

  35. Parler du VIH/SIDA: • Parler du VIH/sida veut dire parler de la sexualité, ce qui n’est pas chose facile pour certaines personnes. Pourtant, quand vous abordez des sujets délicats avec les enfants, cela vous permet de leur montrer que vous avez leur santé et leur bonheur à coeur. • Certaines personnes craignent que le fait de discuter du sexe avec les enfants et les jeunes ne les encouragent à devenir actifs sexuellement. Mais il faut se rappeler ce que révèlent les recherches : les enfants qui sont bien informés et qui se sentent à l’aise de parler de la sexualité sont moins enclins à avoir des relations sexuelles pendant leur adolescence et pratiquent plus souvent l’abstinence que les autres.

  36. Parler du VIH aux enfants Voici quelques conseils pour rendre vos conversations les enfants moins gênantes : • Parlez à leur niveau en utilisant un langage et des idées qui conviennent à leur âge afin qu’ils puissent comprendre; • Demandez des opinions, mais pas de renseignements personnels – il y a une différence; • Soyez prêt à répondre aux questions et soyez toujours franc. Parler se fait dans les deux sens; • Écoutez attentivement et prenez leurs réponses et leurs questions au sérieux. Permettez à leurs questions d’orienter votre conversation;

  37. Ne vous sentez pas obligé d’avoir toutes les réponses; dites-leur simplement que vous ferez des recherches ou que vous trouverez les réponses ensembles; • Ne pensez pas que vous devez aborder tous les sujets lors d’une seule conversation; quelques « petites conversations » fréquentes valent mieux qu’une seule « grosse discussion »; • Ne tenez pas pour acquis que votre opinion est la seule valable. Faites preuve de maturité en acceptant qu’un enfant puisse avoir des idées différentes; • N’ayez pas peur d’avouer votre gêne, mais faites comprendre à l’enfant que vous voulez lui parler de toute façon;

  38. Mettez l’accent sur les informations factuelles – les enfants réagissent bien aux informations vérifiables qui sont exemptes de jugement; • À la fin de votre conversation, faites comprendre à l’enfant que vous êtes toujours disponible s’il veut vous parler davantage ou poser d’autres questions; • Indiquez les endroits où les enfants peuvent obtenir plus d’information et offrez-leur quelques conseils quant à la façon de déterminer si une source d’information est fiable. • Le plus important consiste à vous renseigner le plus possible avant de parler aux enfants ou aux jeunes. Il est important de distinguer les faits de la fiction quand il s’agit de parler du VIH/sida.

  39. Parler du VIH aux enfants Enfants d’âge préscolaire (3 à 4 ans) • À cet âge, certains enfants peuvent comprendre beaucoup plus que nous ne croyons. Vous pouvez leur expliquer les noms des parties du corps et répondre aux questions sur les différences entre les garçons et les filles. • En ce qui concerne le VIH/sida, la plupart des enfants d’âge préscolaire sont trop jeunes pour parler en profondeur de virus et de maladies, mais vous pouvez les encourager à vous poser des questions s’ils entendent des choses à la télé ou lors de leurs conversations avec leurs amis.

  40. Parler du VIH aux enfants Jeunes enfants (5 à 9 ans) • Les enfants commencent à mieux comprendre le monde et leur place là-dedans, et il se peut qu’ils aient des questions ou des craintes par rapport aux maladies. Il est possible qu’ils aient entendu parler du VIH/sida mais ne comprennent pas de quoi il s’agit ou comment il se transmet. Expliquez-le-leur en langage simple. Vous pouvez leur expliquer ce que signifient les sigles « VIH » et « sida ». Vous voudrez peut-être leur dire que le VIH est un germe qui se trouve dans le sang de certaines personnes et qui peut les rendre malades au fil du temps. Mais faites-leur comprendre qu’il ne ressemble pas au rhume – ils doivent comprendre que le VIH ne s’attrape pas aussi facilement.

  41. Parler du VIH aux enfants Les questions posées par les enfants: Par curiosité de l’enfant: • Exemples : « Qu’est-ce que le VIH ? », « Comment les gens attrapent-ils le sida ?» et « Pourquoi les gens meurent-ils du sida ? ». Par préoccupations concernant leur santé: • Les choses que les jeunes enfants entendent à la télé ou de la part d’autres personnes au sujet du VIH/sida risquent de leur faire peur. Ils risquent donc de poser une question comme celle-ci : « Les enfants peuvent-ils attraper le sida ? ». Expliquez les modes de transmission de la maladie à votre enfant, ainsi que les moyens de prévention.

  42. Les questions posées par les enfants: Préoccupations à l’égard de leurs parents, de leur famille et de leurs amis: • L’univers d’un enfant est très petit. Il englobe sa famille immédiate, ses amis et les membres de sa famille élargie, c’est-à-dire ses cousins et cousines, ses tantes et ses oncles. Les enfants veulent se faire rassurer que leurs proches sont en sécurités et le demeureront pour toujours.

  43. 2. Développement psychosocial du pré-adolescent 2.1. Définition de concept: Le pré-adolescent: Enfant âgé entre 9 ans et 12 ans qui va bientôt entrer dans l’adolescence. C’est le début de la puberté. Les besoins du pré-adolescent: Les besoins sont identiques à ceux des enfants. Soit être nourrit, logé, éduqué, aimé, etc.

  44. 2.2. Liens avec la famille proche 2.2.1. Théorie de l’attachement C’est souvent à cette période que l’on voit les signes du bon ou mauvais développement de l’enfant. Si l’enfant est séparé à cette âge des parents, il va souvent s’en accuser lui-même. Par exemple: se sentir coupable du décès de ses parents.

  45. 2.3. Liens avec la famille élargie A cette âge, la famille élargie est très importante pour l’enfant. Il commence à recherche de nouveau modèle (autre que les parents) à qui ressembler. Il va souvent admirer un oncle ou une tante.

  46. Fin de la journée Évaluation de la journée

  47. Jour 2

  48. Adoption rapport jour 1 Retour sur les apprentissages jour 1 Horaire de la journée

  49. 2. Développement psychosocial du pré-adolescent (suite)

  50. 2.4. Liens avec les amis C’est le début du processus d’autonomisation: De 9-12 ans: l’enfant et ses amis pratiquent des activités communes et recherche plus d’intimité avec ses amis. Le recrutement des amis s’élargit et devient plus sélectif Sur le plan personnel: La recherche et l’expression de l’intimité dans les relations d’amitié émergent à la préadolescence. Par exemple: les enfants se font des confidences. Sur le plan social: Pour la première fois, l’individu participe activement à la construction de son propre univers social

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