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DE L APPROCHE COMMUNICATIVE LA PERSPECTIVE ACTIONNELLE. propos de l volution parall le des mod les d innovation et

2. PUREN Christian-???De l'approche par les t?ches ? la perspective co-actionnelle??, Actes du XXVe Congr?s de l'APLIUT, 5-7 juin 2003 ? Auch, Les Cahiers de l'APLIUT (revue de l'Association des Professeurs de langues des Instituts Universitaires de Technologie), vol. XXIII, n? 1, f?vrier 2004, p

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DE L APPROCHE COMMUNICATIVE LA PERSPECTIVE ACTIONNELLE. propos de l volution parall le des mod les d innovation et

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Presentation Transcript


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    4. 4 Deuxième problème: la liaison entre ce concept de tâches dans la tradition anglosaxonne et l’environnement didactique (l’AC)! L’expression «perspective actionnelle» renvoie au Cadre européen commun de référence de 1996-1998 (nous y reviendrons), que l’on peut définir comme une «approche» ou une «entrée par les tâches». Cette «entrée par les tâches» est relativement ancienne en didactique des langues, l’un des premiers à l’avoir développée et impulsée étant David Nunan, qui a proposé du concept la définition suivante, très souvent reprise par la suite par de nombreux auteurs:... Ce qui est frappant dans cette définition, c’est qu’elle est très liée au contexte didactique dans lequel elle a été formulée, à savoir l’approche communicative, et du coup très normative. Sont intégrées en effet dans cette définition, comme on le voit, les activités communicatives entre élèves eux-mêmes en classe, et la centration sur les contenus de communication (le «sens») et non sur la forme. Pourquoi diable ne pourrait-on parler de «tâches» pours des exercices de manipulation formelle de la langue? Deuxième problème: la liaison entre ce concept de tâches dans la tradition anglosaxonne et l’environnement didactique (l’AC)! L’expression «perspective actionnelle» renvoie au Cadre européen commun de référence de 1996-1998 (nous y reviendrons), que l’on peut définir comme une «approche» ou une «entrée par les tâches». Cette «entrée par les tâches» est relativement ancienne en didactique des langues, l’un des premiers à l’avoir développée et impulsée étant David Nunan, qui a proposé du concept la définition suivante, très souvent reprise par la suite par de nombreux auteurs:... Ce qui est frappant dans cette définition, c’est qu’elle est très liée au contexte didactique dans lequel elle a été formulée, à savoir l’approche communicative, et du coup très normative. Sont intégrées en effet dans cette définition, comme on le voit, les activités communicatives entre élèves eux-mêmes en classe, et la centration sur les contenus de communication (le «sens») et non sur la forme. Pourquoi diable ne pourrait-on parler de «tâches» pours des exercices de manipulation formelle de la langue?

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    25. 25 Dans cette conception, on remplace le document de base par la tâche, mais le dispositif reste le même (concentrique, hiérarchique) Les angloxons ont rejoué l’intégration didactique (on remplace le texte par la tâche) + ils ont rejoué l’interprétation du nouveau concept dans la modernité didactique (pas un instrument de mise en perspective, mais un instrument de catalyse des nouvelles orientation!! Transition avec ce qui précède: le concet de de «task» est déjà ancien en diactique anglosaxonne Autre illustration d’une forme nouvelle d’intégration didactique (recherche de cohérence): cf. pre-task, task, post-task: on base sur la tâche un nouveau «schéma de classe», une nouvelle organisation de l’unité didactique. Ce qui est frappant dans cette définition, c’est qu’elle est est utilisée par lui pour réorganiser l’ensemble de la perception de la situation d’enseignement/-apprentissage. Le nouveau concept agit comme une sorte de catalyseur, autour duquel vient se réorganiser l’ensemble du champ. Il devient un concept «central» dans tous les sens du terme, comme le suggère ce schéma, qui est de moi et non pas de Nunan, mais qui me semble bien correspondre à la réprésentation mentale qui est la sienne.Dans cette conception, on remplace le document de base par la tâche, mais le dispositif reste le même (concentrique, hiérarchique) Les angloxons ont rejoué l’intégration didactique (on remplace le texte par la tâche) + ils ont rejoué l’interprétation du nouveau concept dans la modernité didactique (pas un instrument de mise en perspective, mais un instrument de catalyse des nouvelles orientation!! Transition avec ce qui précède: le concet de de «task» est déjà ancien en diactique anglosaxonne Autre illustration d’une forme nouvelle d’intégration didactique (recherche de cohérence): cf. pre-task, task, post-task: on base sur la tâche un nouveau «schéma de classe», une nouvelle organisation de l’unité didactique. Ce qui est frappant dans cette définition, c’est qu’elle est est utilisée par lui pour réorganiser l’ensemble de la perception de la situation d’enseignement/-apprentissage. Le nouveau concept agit comme une sorte de catalyseur, autour duquel vient se réorganiser l’ensemble du champ. Il devient un concept «central» dans tous les sens du terme, comme le suggère ce schéma, qui est de moi et non pas de Nunan, mais qui me semble bien correspondre à la réprésentation mentale qui est la sienne.

    26. 26 Transition entre la principe de cohérence (version forte) et l’entrée en cohérence (version faible). Cf. déjà dans certains manuels l’idée de scénario: on suit la journée d’un personnage, par exemple, qui doit comprendre une lettre d’invitation qu’il vient de recevoir (CE) des messages oraux d’invitation (répondeur téléphonique, CO), répondre à certains par oral (EO) puis à certains par écrit (EE), et qui se rend à l’une des invitations (Interaction orale). On peut imaginer ensuite qu’il fasse une synthèse des informations que lui a donné l’un de ses hôtes à un ami («médiation» dans le CCER de 1996-1998) Je crois que l’on peut/doit aussi imaginer une autre manière de mise en cohérence, qui est le fil conducteur, l’articulation non plus cette fois des habiletés langagières, mais des tâches. On passe du remplacement du texte de base par la tâche de base à l’idée de chaînage. 1er exemple: conception des «dossiers de civilisation» dans le Qué pasa? terminales, qui s’inspire directement des «dossiers de civilisation de niveau II» du BELC et du CREDIF de la fin des année 60. Transition entre la principe de cohérence (version forte) et l’entrée en cohérence (version faible). Cf. déjà dans certains manuels l’idée de scénario: on suit la journée d’un personnage, par exemple, qui doit comprendre une lettre d’invitation qu’il vient de recevoir (CE) des messages oraux d’invitation (répondeur téléphonique, CO), répondre à certains par oral (EO) puis à certains par écrit (EE), et qui se rend à l’une des invitations (Interaction orale). On peut imaginer ensuite qu’il fasse une synthèse des informations que lui a donné l’un de ses hôtes à un ami («médiation» dans le CCER de 1996-1998) Je crois que l’on peut/doit aussi imaginer une autre manière de mise en cohérence, qui est le fil conducteur, l’articulation non plus cette fois des habiletés langagières, mais des tâches. On passe du remplacement du texte de base par la tâche de base à l’idée de chaînage. 1er exemple: conception des «dossiers de civilisation» dans le Qué pasa? terminales, qui s’inspire directement des «dossiers de civilisation de niveau II» du BELC et du CREDIF de la fin des année 60.

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