1 / 17

Staphylococcus Aureus (SA) producteur de leucocidine de Panton-Valentine . Présentation clinique et stratégie thérapeu

Staphylococcus Aureus (SA) producteur de leucocidine de Panton-Valentine . Présentation clinique et stratégie thérapeutique ?. DESC Réanimation Médicale 2 ème année Nice - Juin 2007 Laurent Gergelé – Lyon DES Anesthésie Réanimation. Toxines. Andésines. Lowy , NEJM 1998.

betty_james
Download Presentation

Staphylococcus Aureus (SA) producteur de leucocidine de Panton-Valentine . Présentation clinique et stratégie thérapeu

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Staphylococcus Aureus (SA) producteur de leucocidine de Panton-Valentine. Présentation clinique et stratégie thérapeutique ? DESC Réanimation Médicale 2ème année Nice - Juin 2007 Laurent Gergelé – Lyon DES Anesthésie Réanimation

  2. Toxines Andésines Lowy, NEJM 1998 Introduction : La structure du SA • Cocci gram + • Très résistant, contamine les surfaces inertes • Réservoir: Homme (Fosses nasales, intestin, peau, annexes glandulaires) • Transmission directe ou indirecte • En milieu hospitalier, transmission manuportée +++ • Pathogénie: Protéines de mb et Toxines -> gène Agr (Accesory gene regulator) • Expression séquentielle: • Colonisation • Invasion et dissémination

  3. Introduction (2) : Les toxines Staphylocoques sécrètent nombreuses toxines: • -toxines, -toxines, -toxines • Enterotoxines • Exfoliatines • Toxine du choc toxique staphylococcique (TSST-1) • Molécules à activité super antigènique (l’activation polyclonale des lymphocytes T V) • Toxines synergohyménotropes (SHT) dont la Leucocidine de Panton Valentine Gillet et all, Lancet 2002

  4. synergie Leucocidine de Panton-Valentine Présente dans < 2-5 % des S. aureus • Impliquée dans la grippe espagnole 1918-19 ? (Morgan, BMJ 2006) • Décrite en 1957(Glastone, Br J Exp Pathol, 1957) • Individualisation de 2 composés 1959(Woodin, Biochem J 1959) • Purification de la protéine en 1960(Woodin, Biochem J 1960) • Gènes clonés et séquencés en 1995(Prevost, Infect Immun, 1995) • Protéines extracellulaires à deux composantes: • protéine de classe S (LukS : 312 AA, 320 kDa) • protéine de classe F (LukF : 325 AA, 340 kDa) • Faible activité biologique si action séparée

  5. Présentation Clinique • Atteinte cutanée • Cellulite extensive • Ostéomyélite • Pneumonie nécrosante

  6. Atteintes cutanées • Les furoncles « hospitaliers » sont PVL+, Furoncles de ville sont le plus souvent PVL- Facteur de sévérité • Cellulite extensive Rutar et all Am J Ophtalmol, 2005

  7. Ostéomyélites Présence de PVL = Facteur de gravité

  8. Claire et al, Pediadrics 2006

  9. Pneumopathie nécrosante Nouveau cadre nosologique

  10. Transmission épidémique aéroportée du Staphylocoque 1 cas de transmission maternelle (allaitement)Le Thomas, j Clin Microbiol, 2001 Probable implication de Staph PVL + en 1919Chickering HT et al, JAMA 1919 Pneumopathie nécrosante: Physiopathologie Infection virale (Influenza+++)  Desquamation de l’épithélium  Adhésion des SA (Adhésines)  Sécrétion des Toxines (PVL+++)  Nécrose tissulaire  Dissémination

  11. Série 55 PVL+ • Age = 15ans • Inf Virale ass (68%) • Clinique: • Fièvre >39 ° (78%) • Toux productive (59%) • Hémoptysie (42%) • IgSII =41 • http://www.srlf.org/data/FlashConfs/2006/0740/ J Etienne, SRLF 2005 Pneumopathie nécrosante: Clinique Gillet et al, Lancet 2002

  12. PVL : Facteur de virulence Pathologie grave Gillet et al, Lancet 2002 J Etienne, SRLF 2005 Pneumopathie nécrosante: Pronostic Analyse multivariée:(série 55 patients) Hémoptysie (RR=2,81) et Leucopénie (RR=7)F D R de mortalitéSurvie avec Hémoptysie= 2 jours / Pas d’hémoptysie= 35jours Leucocytes < 3000   20 DCD / 24 patients

  13. Pneumopathie nécrosante: Traitement Antibiothérapie active sur la réplication du Staphylocoque communautaire et sur la toxine (inhibition) mais… Antibiogramme Souvent Meti-R, Quinolone-S Dalacine, Vanco et Zyvoxid-S

  14. SARM fréquent Clindamycine = risque d’inefficacité Clin R inductible

  15. Traitement anti-toxinique • La toxine s’exprime en dehors de la période de réplication. • Clindamycine (Shlievert et al JID 1987) et Zyvoxid (Bernardo et AAC, 2004) • Activité anti-toxinique in vitro aux taux thérapeutiques • Immunoglobulines polyvalentes (Tégelines). «the general guideline proposed for IVIg in cases of bacterial toxemia»

  16. Pneumopathie nécrosante : Proposition Traitement Antibiotiques • Devant une infection communautaire grave, si Staph. PVL+ est suspecté (hémoptysies, leucopénie, âge…) étant donné: • la fréquence des SARM • « l’instabilité » de la clindamycine • la gravité et la célérité de cette pathologie • ANTIBIOTHERAPIE PROBABILISTE PROPOSEE • (après des prélèvements bactériologiques): • A adapter secondairement aux résultats bactériologiques • + Immunoglobulines polyvalentes 1 à 2g/Kg ZYVOXID ROCEPHINE FLUOROQUINOLONE ou MACROLIDE

  17. Conclusion • Staphylocoque aureus PVL+, pathologie encore rare mais qui semble en voie d’augmentation. • Potentiel épidémique fort et implication des épidémies virales (grippe). • Pathologie grave et clinique spécifique Traitement initial adapté et agressif

More Related