Conf rence Horizon 2020

1. Conf�rence Horizon 2020 Participation AFD/FFEM

2. Protection de l�environnement et d�pollution : Les exp�riences r�centes du groupe AFD�dans les pays de la M�diterran�e� Anne Berger Division Eau/Assainissement AFD

3. L�Agence Fran�aise de D�veloppement : Les �l�ments-cl�s L�AFD: op�rateur pivot de l�APD de l�Etat fran�ais Missions de l�AFD : accompagner le d�veloppement durable dans les pays en d�veloppement : r�duction de la pauvret� (OMD) et croissance �conomique dans les pays �mergents : biens publics mondiaux Une aide totalement d�li�e et gouvern�e par le principe d�appropriation par les b�n�ficiaires (D�claration de Paris sur l�efficacit� de l�Aide) Des secteurs d�intervention vari�s Une offre compl�te d�instruments financiers et non financiers Volume d�engagements annuels du groupe AFD: 3.1 Mds� (X 2 en 5 ans) AFD op�rateur pivot : Rassemble principalement aide-projet et assistance technique Environ 10-15% de l�APD fran�aise (qui comprend aide multi, coop militaire, annulation de dette �) BPM : climat, biodiv, pand�mies, paix. Eau n�est pas un BPM mais un BP local. Pas d�intervention E&A dans PE, p� asst au titre de la biodiv et gestion eaux pour �viter des conflits D�claration de Paris 2005 :efficacit� de l�aide Harmonisation et coordination des bailleurs, pilotage par les impacts, appropriation par les pays b�n�ficiaires Secteur d�intervention : agriculture, �ducation, sant�, eau/asst, environnement infras, secteur productif � Instruments : PS, PN, subvention, concessionnels, non-concessionnels, etat/entreprise, maturit� pouvant d�passer 20 ans fonds d��tudes, finance aussi bien soft que hard AFD op�rateur pivot : Rassemble principalement aide-projet et assistance technique Environ 10-15% de l�APD fran�aise (qui comprend aide multi, coop militaire, annulation de dette �) BPM : climat, biodiv, pand�mies, paix. Eau n�est pas un BPM mais un BP local. Pas d�intervention E&A dans PE, p� asst au titre de la biodiv et gestion eaux pour �viter des conflits D�claration de Paris 2005 :efficacit� de l�aide Harmonisation et coordination des bailleurs, pilotage par les impacts, appropriation par les pays b�n�ficiaires Secteur d�intervention : agriculture, �ducation, sant�, eau/asst, environnement infras, secteur productif � Instruments : PS, PN, subvention, concessionnels, non-concessionnels, etat/entreprise, maturit� pouvant d�passer 20 ans fonds d��tudes, finance aussi bien soft que hard

4. Une zone d�intervention en expansion Une activit� et une pr�sence dans plus de 60 pays (�mergents et en d�veloppement)

5. Le FFEM :Un appui en subvention pour prot�ger l�environnement Le FFEM est un instrument financier cr�� en 1994 � la suite du Sommet ��Plan�te Terre�� � Rio 1992. Instrument de la politique fran�aise de coop�ration et de d�veloppement durable Objectifs du FFEM : Traduire les enjeux des biens publics dans une d�marche concr�te et � travers des projets de d�veloppement durable r�gionaux ou locaux Int�grer les priorit�s g�ographiques de l�aide fran�aise Appuyer les multipartenariats Intervention en subvention sur des prestations soft pour une allocation totale de 20 M�/an. Zone d�intervention : Monde, 2/3 des interventions en Afrique et M�diterran�e BPM et PB Locaux : le r�chauffement climatique li� aux �missions des gaz � effet de serre, la d�gradation des eaux locales, les polluants organiques persistants� Ces sujets ont �t� institutionnalis�s dans les grandes conf�rences internationales ou r�gionales. Les fonds tels que le FFEM ou le GEF ont vocation � mettre concr�tement en �uvre les grands principes �nonc�es lors de ces conf�rences � travers des projets concrets. Multipartenariats : (recherche, institutions etentreprises publiques et priv�es, collectivit�s territoriales, ONG) Toujours dans un esprit de mettre en pratique avec les diff�rents acteurs les grands principes act�s au niveau international.BPM et PB Locaux : le r�chauffement climatique li� aux �missions des gaz � effet de serre, la d�gradation des eaux locales, les polluants organiques persistants� Ces sujets ont �t� institutionnalis�s dans les grandes conf�rences internationales ou r�gionales. Les fonds tels que le FFEM ou le GEF ont vocation � mettre concr�tement en �uvre les grands principes �nonc�es lors de ces conf�rences � travers des projets concrets. Multipartenariats : (recherche, institutions etentreprises publiques et priv�es, collectivit�s territoriales, ONG) Toujours dans un esprit de mettre en pratique avec les diff�rents acteurs les grands principes act�s au niveau international.

6. L�AFD dans la zone M�diterran�e Un zone-cl� : Large pr�sence depuis 1992 : Maroc, Alg�rie, Tunisie, Egypte, Syrie, Jordanie, Liban, TAP, Turquie 585 M� d�engagements en 2006 soit 25 % des engagements de l�AFD (hors DOM-TOM) Des pays parmi les premiers partenaires de l�AFD (Maroc, Tunisie, Turquie) Un contexte de partenariat fort et des relations appel�es � se renforcer (Politique de Voisinage de l�UE) Des interventions vari�es : Pr�ts au secteur public et parapublic principalement, Secteur priv� Public non-souverain (Turquie), Subvention (TAP) R�f�rence au cadre d�intervention pays et r�gionaux (voir site Web) Maroc ( 120 M� d�engagements en 2006 - 4e), Tunisie (107 M� - 5e), Turquie (96 M� - 6e) R�f�rence au cadre d�intervention pays et r�gionaux (voir site Web) Maroc ( 120 M� d�engagements en 2006 - 4e), Tunisie (107 M� - 5e), Turquie (96 M� - 6e)

7. L�assainissement liquide : Principal levier de d�pollution en M�diterran�e Eau/Assainissement : secteur de concentration fort pour l�AFD dans la zone MENA (> 20% des engagements) Objectifs d�acc�s � l�eau potable en passe d��tre atteints Une pression environnementale de plus en plus forte: Croissance �conomique => effluents industriels Forte urbanisation => concentration des effluents urbains Des ressources en eau limit�es, qu�il faut prot�ger: Pays proches du niveau de stress hydrique et changement climatique Ressources en eau menac�es par la surexploitation et la pollution Patrimoine r�gional � prot�ger : la M�diterran�e Concentration de l�AFD de plus en plus marqu�e sur les probl�matiques d�assainissement liquide EP/A : priorit� de l�AFD en g�n�ral et dans la zone en particulier : 45% des engagements de l�AFD dans le secteur Eau-Assainissement 20% des engagements dans la zone M�diterran�e La gestion de l�eau : la premi�re des priorit�s dans la zone car : Instabilit� politique Disparit�s sociales Cadre r�glementaire et institutionnelle pas optimal Obj de desserte en passe d��tre atteints, gr�ce au volontarisme des autorit�s locales et des op�rateurs et aussi au financements des bailleurs (maroc : atteint OMD) Augmentation du volume des effluents : incidence �conomique incidence sur la sant� publiqueEP/A : priorit� de l�AFD en g�n�ral et dans la zone en particulier : 45% des engagements de l�AFD dans le secteur Eau-Assainissement 20% des engagements dans la zone M�diterran�e La gestion de l�eau : la premi�re des priorit�s dans la zone car : Instabilit� politique Disparit�s sociales Cadre r�glementaire et institutionnelle pas optimal Obj de desserte en passe d��tre atteints, gr�ce au volontarisme des autorit�s locales et des op�rateurs et aussi au financements des bailleurs (maroc : atteint OMD) Augmentation du volume des effluents : incidence �conomique incidence sur la sant� publique

8. Principales actions du FFEM :  Financement d��tudes de pr�-investissement Le cadre d�intervention commun : la convention de Barcelone: Identification des ��points chauds�� de pollution de la M�diterran�e selon les crit�res d�identification du PAM) R�alisation d��tudes de pr�investissement pour �ces points chauds�� Le cadre d�intervention du FFEM: Crit�res d��ligibilit� au FFEM Articulation avec le GEF 3 �tudes de pr�-investissement correspondant � 3 �points chauds� : La lagune de Nador au Maroc Le site industriel de Ghazaouet en Alg�rie La baie de Tunis Montant total investi : 1 M� Cadre d�intervention commun: Conv de Barcelone date de 1976 2 �tapes dans le cadre des actions de d�pollution : Premi�re �tape: identification des ��points chauds�� de pollution de la M�diterran�e: Crit�res d�identification du programme du PAM: Indicateurs de pollution (DBO, DCO, m�taux lourds, hydrocarbures�) Indicateurs d�impact :sur la sant� publique, sur la qualit� d�eau de boisson, la faune et la flore aquatique, les conditions socio-��conomiques� Deuxi�me �tape: Etudes de pr�investissement visant � d�finir les objectifs, les moyens techniques et financiers d�un projet de d�pollution adapt� � la nature de la pollution constat�e. Cadre d�intervention du FFEM Crit�res d��ligibilit� au FFEM: Zone o� les probl�mes de pollution sont �troitement li�s et interd�pendants, de nature transfrontali�re et affectant l�ensemble de la r�gion�; Aspect innovant des solutions aux probl�mes de pollution ainsi pos�s, et des modes d�intervention pour leur mise en �uvre�; Utilit� d�monstrative et r�plicabilit� des �tudes et des solutions propos�es pour d�autres mers r�gionales en particulier du type semi-ferm�. Le FFEM finance trois �tudes de pr�investissement correspondant aux �points chauds� de pollution suivants: La lagune de Nador au Maroc : on parlera tout � l�heure Le site industriel de Ghazaouet en Alg�rie : o� est install�e une unit� tr�s polluante de production de zinc La baie de Tunis : envisager une meilleure circulation des eaux dans la baie et le Lac Sud et ce dans un environnement urbain tr�s am�nag� Crit�res financement FFEM (en g�n�ral) Contribution au d�veloppement local ou r�gional Caract�re innovant ou exemplaire sur les plans institutionnel, technique, �conomique Durabilit� �conomique, financi�re Acceptabilit� sociale et culturelle Caract�re d�monstratif, reproductible Existence de cofinancements Cadre d�intervention commun: Conv de Barcelone date de 1976 2 �tapes dans le cadre des actions de d�pollution : Premi�re �tape: identification des ��points chauds�� de pollution de la M�diterran�e: Crit�res d�identification du programme du PAM: Indicateurs de pollution (DBO, DCO, m�taux lourds, hydrocarbures�) Indicateurs d�impact :sur la sant� publique, sur la qualit� d�eau de boisson, la faune et la flore aquatique, les conditions socio-��conomiques� Deuxi�me �tape: Etudes de pr�investissement visant � d�finir les objectifs, les moyens techniques et financiers d�un projet de d�pollution adapt� � la nature de la pollution constat�e. Cadre d�intervention du FFEM Crit�res d��ligibilit� au FFEM: Zone o� les probl�mes de pollution sont �troitement li�s et interd�pendants, de nature transfrontali�re et affectant l�ensemble de la r�gion�; Aspect innovant des solutions aux probl�mes de pollution ainsi pos�s, et des modes d�intervention pour leur mise en �uvre�; Utilit� d�monstrative et r�plicabilit� des �tudes et des solutions propos�es pour d�autres mers r�gionales en particulier du type semi-ferm�. Le FFEM finance trois �tudes de pr�investissement correspondant aux �points chauds� de pollution suivants: La lagune de Nador au Maroc : on parlera tout � l�heure Le site industriel de Ghazaouet en Alg�rie : o� est install�e une unit� tr�s polluante de production de zinc La baie de Tunis : envisager une meilleure circulation des eaux dans la baie et le Lac Sud et ce dans un environnement urbain tr�s am�nag� Crit�res financement FFEM (en g�n�ral) Contribution au d�veloppement local ou r�gional Caract�re innovant ou exemplaire sur les plans institutionnel, technique, �conomique Durabilit� �conomique, financi�re Acceptabilit� sociale et culturelle Caract�re d�monstratif, reproductible Existence de cofinancements

9. Exemple d�investissement financ� par l�AFD :Assainissement du Grand Nador (Maroc) (1/2) La lagune de la Marchica : un Hot Spot Une lagune quasi-close Pollution : DBO, MES, eutrophisation, pollution bact�rienne Arr�t de l�activit� d�aquaculture Diff�rentes sources de pollution Effluents urbains D�chets solides Agriculture Situation de l�assainissement Une situation institutionnelle � simplifier Capacit� d�investissement limit�e de la R�gie de Nador V�tust� et dysfonctionnements des installations La r�gion de Nador : un potentiel �conomique � concr�tiser R�gion de l�Oriental : longtemps isol�e, �conomie informelle Volont� politique nouvelle de valoriser le potentiel touristique

10. Le projet : Etudes financ�es en partie par le FFEM Environ 55 M�, dont 38 M� financ�s par l�AFD (Pr�t souverain) Centralisation des effluents de toutes les communes Nouvelle STEP � boues activ�es, traitement anti-bact�rien par UV Les finalit�s du projet : Am�liorer les conditions de vie et d�hygi�ne de la population R�habilitation et pr�servation de la lagune : atout pour le d�veloppement touristique Durabilit� des effets du projet : Plan Global de D�pollution de la Lagune, couvrant toutes les sources de pollution Mise en place d�un Comit� de Suivi : D�finition, mise en �uvre et suivi du plan de d�pollution Repr�sentation de tous les acteurs locaux et nationaux Assainissement du Grand Nador (Maroc) (2/2) Traitement anti-UV : permet d�assainir les berges et de permettre le ramassage et la culture de coquillages Comit� de suivi : ONEP, minist�re de l��environnement, province, industriels, p�cheurs et aquaculteurs, h�teliers, soci�t� civile �) Risques : Gestion du service par l�ONEP, pour qui l�assainissement et surtout l��puration reste un m�tier nouveau, en particulier dans les agglom�rations de taille relativement importante Ce risque est att�nu� par l�exp�rience croissante acquise par l�ONEP au cours des derni�res ann�es en particulier � Al Hoceima dont le syst�me d�assainissement a �t� financ� par l�AFD. Il est �galement pr�vu une p�riode d�un an de co-exploitation et de transfert de savoir-faire entre le constructeur de la STEP et l�ONEP Le projet pr�voit d�mant�lement des 3 STEP existantes, qui pr�sente des dysfonctionnements majeurs. Pour s�assurer que cette op�ration sera faite dans les r�gles de l�art et que les terrains seront correctement remis � niveau, l�AFD a souhait� qu�un accord soit sign� entre l�ONEP et les communes, pr�cisant les obligations et responsabilit�s de chaque partie. Et ce avant le 1er d�caissement du pr�t de l�AFD Comme pour les financements pr�c�dents, l��quilibre financier de l�ONEP reste � surveiller. L�ONEP assume de + en + de responsabilit�s au sein de secteur, en reprenant un service peu rentable dans des villages ou des petites villes. Sur ce projet, l�AFD a tenu � faire r�aliser une �tude financi�re et �conomique sp�cifique et a pr�vu dans la convention de cr�dit des ratios financiers minimum � respecterTraitement anti-UV : permet d�assainir les berges et de permettre le ramassage et la culture de coquillages Comit� de suivi : ONEP, minist�re de l��environnement, province, industriels, p�cheurs et aquaculteurs, h�teliers, soci�t� civile �) Risques : Gestion du service par l�ONEP, pour qui l�assainissement et surtout l��puration reste un m�tier nouveau, en particulier dans les agglom�rations de taille relativement importante Ce risque est att�nu� par l�exp�rience croissante acquise par l�ONEP au cours des derni�res ann�es en particulier � Al Hoceima dont le syst�me d�assainissement a �t� financ� par l�AFD. Il est �galement pr�vu une p�riode d�un an de co-exploitation et de transfert de savoir-faire entre le constructeur de la STEP et l�ONEP Le projet pr�voit d�mant�lement des 3 STEP existantes, qui pr�sente des dysfonctionnements majeurs. Pour s�assurer que cette op�ration sera faite dans les r�gles de l�art et que les terrains seront correctement remis � niveau, l�AFD a souhait� qu�un accord soit sign� entre l�ONEP et les communes, pr�cisant les obligations et responsabilit�s de chaque partie. Et ce avant le 1er d�caissement du pr�t de l�AFD Comme pour les financements pr�c�dents, l��quilibre financier de l�ONEP reste � surveiller. L�ONEP assume de + en + de responsabilit�s au sein de secteur, en reprenant un service peu rentable dans des villages ou des petites villes. Sur ce projet, l�AFD a tenu � faire r�aliser une �tude financi�re et �conomique sp�cifique et a pr�vu dans la convention de cr�dit des ratios financiers minimum � respecter

11. L�exemple du projet d�assainissement du Grand Nador (Maroc)

13. L�exemple du projet de d�pollution du bassin du S�bou (F�s-Maroc) (1/2) Situation : le plus grand bassin du Maroc mais aussi le plus pollu� Seul bassin-versant du Maroc exc�dentaire Un bassin tr�s dens�ment peupl� avec 3 grands centres urbains Une industrialisation importante Pollution tr�s pr�occupante Un bon exemple d�approche int�gr�e via diff�rents projets sur un m�me bassin : Ressource amont : projet forestier d�Ifrane contribuant � prot�ger les r�serves en eau Gestion des eaux agricoles : P�rim�tre irrigu� moyen Sebou Satisfaction de la demande : Barrage de Bab Louta Ressources aval : Epuration � F�s et � Mekn�s Acc�s : Assainissement petits villes (ONEP) Epuration env. 2/3 des eaux us�es en partenariat avec BEI et UE Intro : le bassin du Sebou ne donne pas directement sur la m�diterrann�e, mais exemple int�ressant : Probl�matique symptomatique des pays de la r�gion Exp�rience et approche int�gr�e reproductible Seul bassin-versant du Maroc exc�dentaire : 28% du potentiel national en eaux de surface, 20% du potentiel en eaux souterraines. Un bassin tr�s peupl� : 6% du territoire national, 19% de la population 3 centres urbains (F�s-Mekn�s k�nitra) Pollution tr�s pr�occupante Directe via les rejets liquides domestiques et industriels, Indirecte via l�agriculture, les d�charges non contr�l�es. Intro : le bassin du Sebou ne donne pas directement sur la m�diterrann�e, mais exemple int�ressant : Probl�matique symptomatique des pays de la r�gion Exp�rience et approche int�gr�e reproductible Seul bassin-versant du Maroc exc�dentaire : 28% du potentiel national en eaux de surface, 20% du potentiel en eaux souterraines. Un bassin tr�s peupl� : 6% du territoire national, 19% de la population 3 centres urbains (F�s-Mekn�s k�nitra) Pollution tr�s pr�occupante Directe via les rejets liquides domestiques et industriels, Indirecte via l�agriculture, les d�charges non contr�l�es.

14. L�exemple du projet de d�pollution du bassin du S�bou (Maroc) Objectif : D�pollution du S�bou par la construction d�une STEP � boues activ�es � F�s (1 M EH) Co�t et externalit�s du projet : Env. 70 M� dont 40 M� cofinanc� par l�AFD et la BEI Situation sans projet : Total des externalit�s n�gatives > 20 M� / an Situation avec projet : Taux de rentabilit� �conomique de 36% et retour sur 5 ans La d�pollution industrielle : Une condition de succ�s incontournable soutenue par le FFEM : > 40% de la charge polluante Indispensable pour le fonctionnement de la STEP Investissements en pr�traitement essentiels (5M�) : Subvention + effort financier des entreprises Principe pollueur-payeur dans la loi marocaine mais peu appliqu� Mise en place d�un Programme de D�pollution Industrielle et d�un comit� de suivi local : cr�ation d�une dynamique et de synergies Sans projet : externalit�s n�gatives : Co�ts sur la sant� publique : 12 M� par an Co�ts sur l�agriculture : 3 M� par an Co�ts sur la production d�eau potable : 32 M� par an. Autres : pollution au m�taux lourds, tourisme, p�che, industrie� PI : FFEM finance des �tudes de faisabilit� et des prestations de renforcement de capacit�s M�taux lourds, variation Ph et de charge polluante, produit toxiques comme les rejets des huileries d�olives Principe PP : pas de normes sectorielles, pas de police de l�eauSans projet : externalit�s n�gatives : Co�ts sur la sant� publique : 12 M� par an Co�ts sur l�agriculture : 3 M� par an Co�ts sur la production d�eau potable : 32 M� par an. Autres : pollution au m�taux lourds, tourisme, p�che, industrie� PI : FFEM finance des �tudes de faisabilit� et des prestations de renforcement de capacit�s M�taux lourds, variation Ph et de charge polluante, produit toxiques comme les rejets des huileries d�olives Principe PP : pas de normes sectorielles, pas de police de l�eau

16. Autres exemples de projets AFD/FFEM pour la protection de l�environnement dans la zone Tous les projets n�ont pas forc�ment un impact direct sur la d�pollution de la M�dit�rann�e. Mais certains peuvent avoir un impact indirect, comme les lignes de cr�dit environnementales � des banques. Ces lignes de cr�dit peuvent permettre de financer par exemple des actions de d�pollution des eaux industrielles. D�autres ont vocation � prot�ger les ressources en eau : Promotion d��conomie d�eau comme le projet de la vall�e du Jourdain, qui vocation � assister les gouvernements des TAP, du Liban et de Jordanie dans leurs choix strat�giques en mati�re de gestion de l�eau Traitement des effluents via les nombreux projets d�assainissement �vite les rejets ou d�bordements d�eau us�e qui peuvent s�infiltrer dans la nappe phr�atique Contribue � cr�er des unit�s de traitements d�eaux us�es qui jusqu�alors �taient rejet� dans le milieu naturel, cad tr�s souvent le milieu marin � travers leur dimension de protection environnementale et de sauvegarde du milieu marin, Ces projets ont souvent une dimension �conomique. Cf AGADIR, NADOR Mentionner les diff�rentes r�alisations Tous les projets n�ont pas forc�ment un impact direct sur la d�pollution de la M�dit�rann�e. Mais certains peuvent avoir un impact indirect, comme les lignes de cr�dit environnementales � des banques. Ces lignes de cr�dit peuvent permettre de financer par exemple des actions de d�pollution des eaux industrielles. D�autres ont vocation � prot�ger les ressources en eau : Promotion d��conomie d�eau comme le projet de la vall�e du Jourdain, qui vocation � assister les gouvernements des TAP, du Liban et de Jordanie dans leurs choix strat�giques en mati�re de gestion de l�eau Traitement des effluents via les nombreux projets d�assainissement �vite les rejets ou d�bordements d�eau us�e qui peuvent s�infiltrer dans la nappe phr�atique Contribue � cr�er des unit�s de traitements d�eaux us�es qui jusqu�alors �taient rejet� dans le milieu naturel, cad tr�s souvent le milieu marin � travers leur dimension de protection environnementale et de sauvegarde du milieu marin, Ces projets ont souvent une dimension �conomique. Cf AGADIR, NADOR Mentionner les diff�rentes r�alisations

17. Autres exemples de projets AFD pour la protection de l�environnement dans la zone Nombreux autres projets d�assainissement au Maroc (Oujda, Mekn�s) et en Tunisie. ONAS prg sectoriel : 80M�. 630 km de conduites, r�habilitation de 2 STEP. Acc�s : 245 000 habitants Egypte en instruction : 4 gouvernorats du bassin du Nil (co-financement avec KfW/CE/BEI) Au total, les interventions du FFEM en mati�re de renforcement de capacit�s en formation se monte � 800 K�. Ces interventions s�inscrivent dans un cadre commun avec les �tudes de pr�-investissement et visent � renforcer les comp�tences des d�cideurs et des ing�nieurs des grands offices d�eau et d�assainissement sur les questions de pollution en mer. De mani�re g�n�rale, les �quipes FFEM-AFD essayent autant que possible de coordonner leurs actions et d�unir leurs efforts sur des projets communs, les financements FFEM servant soit � d�finir les conditions de faisabilit� des projets soit � en p�renniser les impacts. Nombreux autres projets d�assainissement au Maroc (Oujda, Mekn�s) et en Tunisie. ONAS prg sectoriel : 80M�. 630 km de conduites, r�habilitation de 2 STEP. Acc�s : 245 000 habitants Egypte en instruction : 4 gouvernorats du bassin du Nil (co-financement avec KfW/CE/BEI) Au total, les interventions du FFEM en mati�re de renforcement de capacit�s en formation se monte � 800 K�. Ces interventions s�inscrivent dans un cadre commun avec les �tudes de pr�-investissement et visent � renforcer les comp�tences des d�cideurs et des ing�nieurs des grands offices d�eau et d�assainissement sur les questions de pollution en mer. De mani�re g�n�rale, les �quipes FFEM-AFD essayent autant que possible de coordonner leurs actions et d�unir leurs efforts sur des projets communs, les financements FFEM servant soit � d�finir les conditions de faisabilit� des projets soit � en p�renniser les impacts.

18. Les diff�rents outils de financement du groupe AFD Outre les produits ��classiques�� de pr�t souverain et de subventions : Financement interm�di� Financements � conditions de march� � des entit�s priv�es (Proparco) Financement non-souverain concessionnel ou non � des entit�s publiques ou priv�es Financement aux collectivit�s locales sans garantie souveraine Les tableaux pr�c�dents pr�sentent quelques exemples de la diversit� des interventions et des produits financiers propos�s par le groupe AFD �. Chacun de ces outils peut �tre un moyen pour un projet donn� de contribuer � des actions de d�pollution dans les pays de la zone. Sur un m�me projet, ils peuvent parfois se compl�ter comme l�ont montr� les exemples pr�c�dents.Les tableaux pr�c�dents pr�sentent quelques exemples de la diversit� des interventions et des produits financiers propos�s par le groupe AFD �. Chacun de ces outils peut �tre un moyen pour un projet donn� de contribuer � des actions de d�pollution dans les pays de la zone. Sur un m�me projet, ils peuvent parfois se compl�ter comme l�ont montr� les exemples pr�c�dents.

19. Conclusion L�assainissement liquide : LA priorit� de d�pollution dans la zone pour le groupe AFD Une gamme de produits financiers compl�mentaires s�adressant � des acteurs vari�s et pour des actions vari�es De nouveaux secteurs � investir : les D�chets solides, autre source de pollution de la M�diterran�e : en phase de r�flexion � l�AFD, mais secteur peu ��m�r�� dans les pays d�intervention traditionnels de la l�AFD dans la zone ACTIONS VARIEES (investissement, renforcement de capacit�s, �tudes, prestations d�appui�) Merci de votre attention De nouveaux secteurs � investir : les D�chets solides, autre source de pollution de la M�diterran�e : en phase de r�flexion � l�AFD, mais secteur peu ��m�r�� dans les pays d�intervention traditionnels de la l�AFD dans la zone ACTIONS VARIEES (investissement, renforcement de capacit�s, �tudes, prestations d�appui�) Merci de votre attention