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Les 3 états de la personne

Les 3 états de la personne. La psychanalyse postule que notre psychisme est formé de trois instances psychiques: Le ça: ensemble des pulsions, désirs, besoins dont une grande partie échappe a la conscience.

frederica
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Les 3 états de la personne

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Presentation Transcript


  1. Les 3 états de la personne La psychanalyse postule que notre psychisme est formé de trois instances psychiques: • Le ça: ensemble des pulsions, désirs, besoins dont une grande partie échappe a la conscience. • Le Sur-Moi: partie de la structure psychique agissant sur le Moi contre les pulsions du ça. Ce Sur-Moi échappe lui aussi a la conscience. • Le Moi: partie consciente de la structure psychique qui permet a l’individu de s’adapter a la réalité et qui notamment, contrôle – aidé par le Sur-Moi – les pulsions du ça. Dans la société, un individu sur 3 a une conscience claire de son Moi. D’où l’intérêt de l’AT, qui traite la partie la plus accessible à la conscience.

  2. Les trois états du Moi • L’état Parent (P) : «Conscience morale». • L’état Adulte (A) : Etat objectif qui applique des règles sans s’impliquer sentimentalement.   • L’état Enfant (E) : Partie créative et ludique de notre tempérament. Une personnalité « complète » verrait cohabiter harmonieusement ces trois éléments.  

  3. Principe de base et utilisation • Principe de base de l’AT: Il existe en chacun de nous 3 états différents du « moi » qui peuvent simultanément nous faire agir.

  4. Définition des  états du moi • 3 états du moi : • P : parent • A : adulte • E : enfant • Les états du moi P et E comportent des subdivisions.

  5. Définition des  états du moi L'état du moi parent comporte deux subdivisions:                     - le parent nourricier PN                     - le parent critique PC

  6. Définition des  états du moi • Attentif au bien-être des autres, le PN est compréhensif, il prend soin • des autres et tout particulièrement de ceux qui rencontrent une difficulté, • il materne. • En communication para-verbale, sa voix a tendance à être douce, enrobante. •  En communication non-verbale, il a tendance à pénétrer dans l'espace social, il est proche des gens. • A l'extrême, il devient paternaliste et peut nuire à l'autonomie de la personne. Il en retire alors un certain pouvoir.

  7. Définition des  états du moi •   Il "sait" ce qui est important pour vous (vos valeurs). Il est dans • le jugement et dans l'application des règles. On l'appelle aussi • parent normatif. Le règlement intérieur et son application, c'est lui.  • Il est volontiers autoritaire, en communication para-verbale, il parle • fort, sa voix est sans appel. • En communication non-verbale, il croise les bras, toise les gens, met les mains sur les hanches. • Le parent, qu'il soit nourricier ou critique est en position haute • par rapport à ses interlocuteurs.

  8. Définition des  états du moi L'état du moi adulte ne comporte pas de subdivision.Intéressé par les faits, les infos, il analyse objectivement, il s'exprime posément: "il dit les choses". En communication para-verbale, sa voix est posée, calme, régulière, son regard est franc. En communication non verbale, il se tient droit, à distance convenable (dite sociale), il est détendu.

  9. Définition des  états du moi Cet état du moi est créatif, il est dans l'émotion. L'enfant comporte 4 subdivisions: - l'enfant adapté soumis. EAS - l'enfant adapté rebelle. EAR. - le petit professeur. PP - l'enfant libre. EL

  10. Définition des  états du moi L'EAS se conforme sans condition aux règles, aux règlements intérieurs. Il est référence externe.            Attention si votre EAS rencontre un parent critique (PC)! L'EAS est fiable, ponctuel, consciencieux.            En communication non-verbale, il baisse les yeux, rougit, se tord les mains...

  11. Définition des  états du moi A l'inverse, l'EAR est en opposition, il recherche des adversaires pour s'affirmer, d'ailleurs, de par son attitude il en trouve. Il lance des défis et prendra volontiers le contre-pied des manifestations d'autorité. Si l'expression de l'autorité est trop forte, il se met en colère. L'EAR rebelle refusant l'ordre établi se retrouvera dans les syndicats. Pour le "contrer", utilisez les suggestions négatives paradoxales. il est volontiers réactif. En communication non-verbale, il hausse les épaules, lève les yeux en prenant un air excédé. Son regard est parfois provocateur.

  12. Définition des  états du moi C'est le petit malin dans le bon sens du terme. Il est vif, il cherche un raccourci là ou l'enfant soumis suit le chemin et l'enfant adapté rebelle fait demi tour. C'est le monsieur géotrouvetout pour ceux qui ont des références BD. Il marche au plaisir. le PP est positif, orienté solution. Il est pro-actif. En communication non-verbale, le PP a un regard pétillant qui ne se pose jamais, hyper-actif, il a tendance à avoir la "bougeotte". Il manie l'humour.

  13. Définition des  états du moi L'enfant libre s'exprime... en fonction de ce qu'il est, et non pas en fonction des autres comme l'EAS (je fais ce que l'on me dit) ou comme l'EAR (je fais le contraire de ce que l'on me dit). L'EL est dans l'émotion qu'il transforme en énergie. Le PN n'aura pas plus d'influence sur lui que le PC d'ailleurs. Il est direct et dit les choses clairement. Comme l'enfant libre exprime ce qu'il ressent, il baille lorsqu'il est fatigué, rit quand il est gai même si l'environnement ne s'y prête pas.

  14. Synthèse

  15. Lorsqu'un état du moi prend le pouvoir

  16. Lorsqu'un état du moi prend le pouvoir

  17. Lorsqu'un état du moi prend le pouvoir

  18. Définition de la transaction • La transaction, unité de base des relations humaines, est une relation entre deux PAE, branchés ou pas sur la même longueur d’ondes. • Une relation est une chaîne de transactions. • Le mot « transaction » suppose un échange au sens « aller-retour » • Les états du moi s’attirent ou se repoussent comme les pôles d’un aimant..

  19. La transaction parallèle • Une transaction est parallèle ou complémentairelorsque c ’est l ’état du moi sollicité qui répond à celui qui l’a sollicité. Ce type d’échange est équilibré au niveau du processus, il n ’entraîne ni heurt ni conflit.

  20. La transaction peut être égalitaire. P P Q:où avez vous mis le dossier y? R:il est dans le second tiroir A a A r E E

  21. La transaction peut être inégalitaire. A : j ’ai peur! P P A B: ne crains rien, je suis là ! A A E E

  22. seulement P P Q :Saviez vous quel est le cours du de l’Euro aujourd’hui? A A R : ? E E • La question posée est apparemment Adulte, si un mot (seulement) n’y était pas : car il implique un doute, un mépris, un sentiment de supériorité, • Le risque pour l’interlocuteur est d’accepter une transaction complémentaire. • -S’il sait répondre à la question, il tiendra le rôle de l’enfant Adapté soumis; • -S’il ne sait répondre, il pourra être tenté par le rôle de rebelle. • -A lui s’il le souhaite, de quitter la transaction parallèle pour croiser la transaction.

  23. La transactioncroisée Q: P P Connaissez-vous seulement le cours de l’Euro? R:Monsieur, vous n’êtes pas ici pour me donner des cours d’économie ; si vous êtes compétent, on s’en serait aperçu A A E E La transaction est croisée, lorsque c’est un autre état de moi que celui qui est sollicité qui répond à celui qui l’a sollicité

  24. P P Secrétaire • Le risque de ce type de transaction est de provoquer un conflit dans la relation ? ce qui peut constituer un élément d ’échec ou un renouvellement salvateur. Cadre A A j’en ai marre de cette machine, je vais la jeter par la fenêtre! Vous avez l’air en colère! E E • La secrétaire exprime une émotion. En la reformulant en Adulte, le cadre permet à la conversation d’évoluer vers du rationnel • Une autre façon de croiser la transaction aurait été de brancher l’enfant en disant par exemple.  « Attendez je vais ouvrir la fenêtre. » • Toute l’énergie canalisée par l’interlocutrice dans une relation Enfant-Parent attendue aurait alors éclaté sous forme d’éclat de colère, d’éclat en sanglot ou d’éclat de rire.

  25. Les transactions cachées • 1) Elles sont doubles, elles se déroulent apparemment à un niveau social et recèlent un niveau psychologique caché. P P L’étudiant L’étudiante J ’ai vu que tu n’étais pas au cours, je t’ai pris le cours en double, je te le ramène l’aprem. A A C ’est gentil d’y avoir pensé, je passerai l’aprem E E Apparemment la transaction est rationnelle, on peut déduire suivant les circonstances et le ton que des enjeux d’ordre émotionnel ne sont pas totalement absents de la proposition de rencontrer et de la réponse

  26. Les transactions angulaires Elles visent La manipulationL’influence. Le subordonné qui sollicite un rendez-vous auprès de son chef débordé, risque fort un refus s’il utilise une transaction inégalitaire qui programme une réponse parent.

  27. Subordonné(timidement) P P Directeur On verra ça plus tard M.le directeur, est-ce que vous pourriez, s’il vous plaît, me recevoir? A A E E En utilisant la transaction angulaire, il augmente ses chances d’être reçu. Subordonné Directeur P P Je suis très occupé, venez demain matin! M. le directeur, est-ce que vous préférer me recevoir cet après- midi ou demain matin? A A E E La question est apparemment neutre et adulte, mais elle exclut le refus et enferme l’autre dans une alternative

  28. Les transactions tangentes P Le journaliste P Le candidat C ’est une bonne questionet je vous remercie de l ’avoir posée et je me demande en effet si l ’actuel président a les qualités pour le rester en effet... Monsieur x- vous pensez avoir les qualités pour être président? A A E E

  29. La Symbiose • Demandez à un jeune enfant son nom et la réponse viendra souvent de sa mère. • Posez une question concernant les finances d’un couple à la femme, et vous verrez presque aussi souvent, le mari répondre à sa place. • Ces deux situations similaires peuvent être le signe d’une relation particulière appelée symbiose. Relation d’autonomie et relation symbiotique Une relation entre deux personnes peut-être une relation d’autonomie ou une relation symbiotique. Dans le premier cas, les deux personnes sont indépendantes et mettent en commun leurs ressources alors que dans le second, les deux individus sont fondamentalement dépendants l’un de l’autre. Il y a SYMBIOSE lorsque deux ou plusieurs personnes se comportent comme si elles n’étaient à elles toutes qu’une seule personne

  30. La symbiose et la résolution des problèmes • L’Adulte joue comme nous l’avons vu, peu de rôle dans la symbiose. Cette dernière se manifeste donc par la non-résolution des problèmes, ceci par l’intermédiaire de deux attitudes : la passivité et la dévalorisation. • Les passivités : 4 formes de passivité ( façons de NE PAS s’attaquer au problème) • NE RIEN FAIRE : fuir le problème  « Ça s’arrangera... » « Je m’en occupe.. ». «Nommons une commission... » • LA SUR ADAPTATION: La personne est consciente du problème, mais au lieu de chercher à le résoudre, elle se “sur” adapte et vit avec lui.  Je ne suis pas satisfait du travail d’un de mes subordonnés, mais je ne lui en parle pas. • L’AGITATION: La personne est dérangée par un problème, mais plutôt que de lui consacrer son attention, elle détourne son attention vers des activités parasitaires.  Fumer, ronger ses ongles, se trémousser... Courir d’un bureau à l’autre, Parler sans arrêt... • L’INCAPACITE ou LA VIOLENCE • La personne se met en état de ne pouvoir résoudre le problème • Absentéisme • Dépression nerveuse • ou bien la personne décharge l’énergie qu’elle a accumulée sur autrui au lieu de la consacrer à résoudre le problème. • Le père qui tape son enfant, car sa femme l’a énervé. • L’équipe perdante qui devient violente vers la fin du match.

  31. Les dévalorisations: Lorsqu’on fait face à un problème et qu’on essaie de le résoudre, il est fréquent de le DEVALORISER à un des quatre niveaux suivants, ce qui empêche de résoudre pleinement le problème. • DEVALORISATION du PROBLEME (de son existence ou de son importance) “Ce n’est pas un problème, ce n’est rien.” • DEVALORISATION de la SOLVABILITE du PROBLEME “Cette histoire me tracasse moi aussi, mais on ne peut rien y faire de toute façon” • DEVALORISATION de la SOLUTION du PROBLEME “Vous avez là une très bonne idée, mais chez nous ça ne marchera jamais!” • DEVALORISATION d’UNE PERSONNE, d’un groupe de personnes ou d’un Etat du MOI à l’intérieur de la personne La femme: “Chéri, j’ai le sentiment que tu ne m’aimes plus.” L’homme: “Ne dis pas de bêtises.» (Dévalorisation de l’Enfant de la femme par le mari) Dans tous les exemples ci-dessus, c’est le PARENT qui dévalorise et ne permet pas à l’ADULTE d’évaluer de façon efficace le problème, sa nature, ses solutions éventuelles ou les personnes impliquées.

  32. Les positions de vie • Selon l’analyse transactionnelle, un individu développe très tôt dans la vie une position émotionnelle de base (position existencielle ou position de vie), qui est le résultat combiné des différentes simulations qu’il a reçues et de ce qu’il a dû faire pour les recevoir. • Cette position, résultant des expériences de l’enfance, définit la façon dont la personne administrera sa vie. son économie de stimulation, la façon dont elle les recherche, les types de stimulation qu’elle donne et la façon dont elle les donne • Cette position de vie influencera donc profondément la façon dont un individu entre en relation avec les autres. Il est possible de distinguer quatre positions de vie principales, c’est à dire quatre façons de voir les relations entre soi-même et autrui.

  33. A partir du quadrangle précédent, il est possible de décrire quatre styles de relation de supérieur à subordonné.

  34. * OK+ OK+ : Une personne qui est dans cette position a une vue saine et optimiste de la vie. • Elle entre librement en relation avec autrui et assume une attitude de réussite dans ses rapports avec les autres et avec son environnement. • Cette position permet à l’Adulte de prendre le contrôle de la personnalité. • Elle donne le type de manager résolutif, qui ne se laisse pas dominer par ses sentiments et qui écoute les sentiments des autres. * Ok+ OK- : Une personne qui est dans cete position se montre extrêmement méfiante, négative et même haineuse à l’égard des autres; elle se sent au-dessus des critiques, mais ne se prive pas de remettre les autres en place. • Cette position facilite la prise de contrôle de la personnalité par le Parent Critique. • Elle donne le type de manager autoritaire, perfectionniste, contrôleur et prompt à la réprimande. * OK- OK- : Une personne qui est dans cette position est méfiante à l’égard des autres sans être confiante en elle-même. Elle a une vue pessimiste de ta vie et fuit les problèmes et tes contacts sociaux. • Elle ne donne pas des managers, mais des subordonnés avec lesquels le manager aura besoin de beaucoup de sensibilité, de compréhension et de patience pour pouvoir établir un climat de confiance. • OK- OK+ :une personne qui est dans cette position se sent souvent inférieure, laide et incompétente. Elle ne peut être heureuse même si elle connait un certain succès. Elle dévalorise les compliments et pourtant recherche les autres et leur affection. Cete position amène la personne à se comporter en Enfant Adapté et à rechercher un Parent à qui elle puisse faire confiance. • Elle donne le type de manager timide, passif, peu imaginatif, routinier et dépendant.

  35. La notion de “position de vie”, comme les autres concepts de l’Analyse transactionnelle, constitue un outil, un instrument de pensée, et ne prétend pas décrire une vérité. • Elle se justifie par son utilité comme modèle d’interprétation et d’action sur la réalité. En fait, la plupart des gens ne sont pas fixés dans une seule position mais ont une position dominante qu’ils quittent en fonction des situations et des personnes concernées. • De même, cette position évolue en fonction du temps. • Par exemple, un employé de bureau pourra, au travail, se situer dans,une position OK- OK+, s’estimant peu compétent alors qu’il admire son patron auquel il se soumet. • En revanche, en rentrant chez lui, il pourra avoir un comportement tyrannique avec sa femme et ses enfants en leur dictant ce qu’ils doivent faire (OK+ 0K-). • Lorsqu’il est avec ses amis, il peut également se situer dans des rapports d’amitié et d’égalité (OK+ OK+). • Enfin, s’il se situe sur un plan de réflexion générale il peut se considérer comme un raté dans une société pourrie (OK- OK -). • Chaque individu décrit donc à un instant donné une surface sur les axes toi/moi du quadrant des positions de vie.

  36. La structuration du temps • Introduction • Les transactions pourraient se succéder de façon aléatoire, mais il n’en est rien. Elles se suivent en des séries de séquences progressives ou, au moins, structurées. Nous expliquons ces séquences observables en terme de structuration du temps. Nous disposons ainsi principalement de six façons de structurer notre temps. • Au niveau social (avec autrui) : • Le retrait • Le rituel • Le passe-temps • L’activité • Le jeu • L’intimité

  37. Ces six façons de structurer notre temps nous permettent de maîtriser la forme et l’intensité de nos échanges avec notre environnement. • Sans elles, nous ne pourrions pas avoir ces échanges, donc nous manquerions de stimulation. • Chacune des façons de structurer le temps a son sens et sa fonction, dans la vie des personnes comme dans celle des organisations. Elles ont leurs aspects positifs et négatifs. Il conviendra de les choisir en fonction des paramètres suivants: • la ou les personnes concernées • les problèmes à régler ou tâches à remplir • le degré d’urgence de la situation

  38. - Le RETRAIT: Rêverie, méditation, silence: L’avantage du RETRAIT est de permettre d’éviter d’être submergé par des simulations extérieures. Son inconvénient est de constituer souvent une solution de fuite. Dans ce cas, il peut être apparenté aux différentes formes de passivité. - Le RITUEL: Salutations, cérémonie religieuse, se raser, se coiffer, ranger son bureau… Est sécurisant par son caractère répétitif. Inversement, les stimulations qu’il fournit sont peu intenses. Dans le RITUEL, il y a peu d’engagement donc peu d’accomplissement. -Le PASSE-TEMPS : on discute de sujets généraux, voire banaux: voiture, mode, dernières vacances… Le PASSE-TEMPS permet sans risque d’approcher ses interlocuteurs et de sélectionner ceux avec lesquels on s’engagera dans une relation plus intime. Bien qu’utile dans certaines situations sociales, les relations qui ne progressent pas au-delà meurent ou conduisent à l’ennui croissant. - L’ACTIVITE : Travail, sport, musique… Est toujours orientée vers la réalité externe (un but) et implique des transactions de type AA. Les ACTIVITES, parce qu’elles sont productrices ou créatrices, peuvent être hautement satisfaisantes et peuvent conduire à des satisfactions dans le futur, sous forme de stimulation pour un travail bien fait. - Les JEUX (manipulateurs) : Manipulations émotionnelles de soi-même ou d’autrui aboutissant systématiquement à des sentiments désagréables, quoique rassurants par leur répétition. - L’INTIMITE : C’est le contact direct, authentique et spontané entre deux ou plusieurs personnes. En INTIMITE, il n’y a pas d’objectifs extérieurs à la relation comme dans une ACTIVITE, ni d’objectifs psychologiques inavoués comme dans un JEU. L’INTIMITE consiste à accepter l’autre tel qu’il est, et à rester soi-même. Elle sous-tend une position de vie OK+, OK+. Beaucoup de personnes évitent l’intimité, surtout dans un cadre professionnel, à cause de son « risque ».

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