1 / 6

LE PARLEMENT AU COEUR DU DISPOSITIF ANTI-CRISE

LE PARLEMENT AU COEUR DU DISPOSITIF ANTI-CRISE. Réunion constitutive du comité de suivi du plan de financement de l’économie française. L’organisation du comité de suivi.

jubal
Download Presentation

LE PARLEMENT AU COEUR DU DISPOSITIF ANTI-CRISE

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. LE PARLEMENT AU COEUR DU DISPOSITIF ANTI-CRISE Réunion constitutive du comité de suivi du plan de financement de l’économie française

  2. L’organisation du comité de suivi • Une demande forte lors de l’autorisation par le Parlement de l’octroi de la garantie de l’Etat à une hauteur maximale de 360 milliards d’euros. • Création par le décret n° 2008-1287 du 10/12/2008. • Composition : • les présidents et rapporteurs généraux des commissions des finances des deux assemblées ; • le gouverneur de la Banque de France ; • le directeur général du trésor et de la politique économique ; • le directeur du budget. • Des réunions régulières, sur un rythme au moins trimestriel, et une présidence alternée.

  3. Le comité de suivi : un outil au service des prérogatives de contrôle du Parlement • La nécessité d’un dialogue en comité restreint sur certains sujets confidentiels • Un champ de compétence qui devrait être élargi au moins à la garantie de l’Etat à la CCR (assurance-crédit) et aux PPP. • Un rôle non exclusif du travail de contrôle des commissions des finances.

  4. L’alimentation en liquidités : la SFEF • Un outil créé pour répondre à l’asphyxie du crédit interbancaire. • Un plafond « théorique » de 320 milliards d’euros. • Un outil permettant aux banques d’obtenir des financements de moyen terme à des taux attractifs (au vu des conditions de marché). • 1er bilan chiffré : • 23 milliards d’euros prêtés à 13 banques ; • un taux moyen de 4 % (dont 3 % correspondant au taux d’emprunt par la SFEF, auquel s’ajoute la rémunération de la garantie de l’Etat).

  5. L’apport de fonds propres ou de quasi fonds propres : la SPPE • Un plafond « théorique » de 40 milliards d’euros. • Un apport de « fonds propres » devant améliorer les ratios des banques et jouer ainsi un rôle « d’activateur de distribution de crédit ». • Une première tranche de 10,5 milliards d’euros réalisée le 11/12/2008 au profit de 6 groupes bancaires (0,5 point de ratio Tier 1) : • sous forme de « titres super subordonnés » (TSS) ; • un taux de rémunération moyen de 8,2 %. • Une deuxième tranche de 10,5 milliards d’euros ouverte jusqu’au 31/08/2009. Choix donné aux banques entre des TSS et des actions de préférence sans droit de vote.

  6. La lancinante question des contreparties • La nécessaire distinction entre établissements « à sauver » et établissements pour lesquels l’Etat ne fait que pallier les déficiences du marché. • Un suivi des conventions à renforcer : • un objectif d’évolution d’encours (+ 3,5 % en moyenne) peu significatif et devant être perfectionné ; • des engagements des banques en matière de gouvernance et de rémunération à préciser lors de l’émission de la deuxième tranche de la SPPE.

More Related