1 / 6

Solutions de la première partie du jeu « Promenade dans le Rouen du XIXème siècle

Solutions de la première partie du jeu « Promenade dans le Rouen du XIXème siècle et son agglomération » L’évolution de Rouen au XIXème siècle. Solution de la page 3 :

mary-battle
Download Presentation

Solutions de la première partie du jeu « Promenade dans le Rouen du XIXème siècle

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Solutions de la première partie du jeu « Promenade dans le Rouen du XIXème siècle et son agglomération » L’évolution de Rouen au XIXème siècle

  2. Solution de la page 3 : • Les auteurs de ces photographies se trouvaient tous deux sur les hauteurs à l’ est de ROUEN (côte Sainte Catherine) pour réaliser leurs vues. Toutefois, le photographe en 2008 s’est probablement installé plus en amont car on aperçoit une partie plus importante de la boucle de la Seine ainsi que de l’île Lacroix. • On peut constater sur la photographie de 2008, le développement urbain en particulier sur la rive gauche et sur l’île Lacroix. Le nombre de ponts permettant de traverser la Seine a augmenté au fur et à mesure des années et en fonction des besoins occasionnés par l’accroissement de la ville, de son agglomération et de la circulation. Rouen 2008 source : Rouen, port de mer, Images du patrimoine, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France

  3. La rue de l’Impératrice Solution de la page 5 : Il s’agissait de la rue « Jeanne d’Arc », baptisée à l’origine « rue de l’Impératrice » en hommage à l’impératrice Eugénie, épouse de l’empereur Napoléon III. Sous le second empire, la ville de Rouen comme beaucoup d’autres villes françaises connaît d’importantes transformations qui répondent à plusieurs objectifs : Donner une image moderne de la ville Supprimer des quartiers et des rues jugés insalubres Libérer des terrains pour bâtir des immeubles plus en rapport avec les aspirations de l’époque Créer de nouvelles voies afin d’améliorer la circulation dans une ville qui s’est beaucoup développée et qui doit s’adapter aux nouveaux modes de transport ( Première ligne de tramways tirés par des petites locomotives à vapeur en 1877). En outre, ces rues larges et rectilignes facilitent le déplacement des troupes en cas d’émeutes populaires ( la rue d’Amiens fut percée en 1852 après les émeutes de 1848 ).

  4. Solutions de la page 6 : • A la fin du 19ème siècle : • 1. Les avancées (« galeries marchandes » couvertes qu’on appelle avant-soliers) ont disparu sur le bâtiment de droite. Ce bâtiment était la halle aux draps ; aujourd’hui c’est un grand parking qui occupe l’ emplacement. Le 19ème siècle fut en Normandie comme partout en France, le siècle de la révolution industrielle ; des filatures de coton, des usines textiles se développèrent dans les vallées du Cailly et sur la rive gauche de la Seine. Le négoce textile s’organisait sur cette place de la Haute-Vieille-Tour. De nos jours, il ne reste qu’une partie des halles d’autrefois où se déroulaient les ventes : la halle aux toiles. • Les façades en pans de bois des maisons à gauche sont recouvertes de plâtre. • L’éclairage public apparaît. • La publicité apparaît (affiches sur le pignon de la maison à droite). • Une flèche de fonte orne la cathédrale : elle fut construite pour remplacer la flèche renaissance • en bois recouverte de plomb doré incendiée en 1822 mais elle ne fut jamais terminée. Cet inachèvement faisait que cette flèche de fonte était fort décriée par les Rouennais. Gustave Flaubert, un grand écrivain normand, la considérait comme « une tentative extravagante de quelque chaudronnier en folie » et Guy de Maupassant, un autre grand écrivain normand la comparait à « une surprenante aiguille de bronze, laide, étrange, démesurée ». Pour la rendre plus « acceptable », on décida d’orner sa base de quatre clochetons en cuivre et de placer une lanterne à son sommet comme cela avait été prévu dans le projet initial.

  5. Solution de la page 7 : Voici les dates d’invention de ces instruments : • Harpe : Antiquité • Violoncelle : fin du XVIème siècle • Trompette à piston : 1839 • Saxophone : 1842 • Cor : Moyen-âge (avec pistons, début du XIXème siècle) • Tuba : 1837 • Clavecin : XVIème siècle • Clarinette : 1700 Donc, François -Adrien Boieldieu (1775-1834) n’a pu utiliser ni la trompette à piston, ni le tuba, ni le saxophone dans ses compositions.

  6. Solutions de la page 8 : • Mignonne, allons voir si la rose : polyphonie vocale de Guillaume Costeley, né à Pont-Audemer (Eure) vers 1530. Epoque de la Renaissance. • La Dame Blanche : opéra composé en 1825 par François- Adrien Boieldieu, né à Rouen en 1775. Epoque classique puis romantique. • La Sixième Gnossième : une des 6 gnossièmes, créées en 1890 par Erik Satie, né à Honfleur (Calvados) en 1866. Il a composé l’essentiel de ses œuvres pour piano seul sauf deux musiques de ballets pour orchestre. • Pacific 231 : œuvre orchestrale d’Arthur Honegger, né au Havre en 1892 . Cette œuvre créée en 1923, propose un parcours musical à bord de la fabuleuse locomotive Pacific 231. Epoque moderne. • Guy de Maupassant (1850-1893) n’a donc pas pu écouter « Pacific 231 », puisqu’en 1923, date de création de cette œuvre, il était mort !

More Related