Observatoire du Bonheur Les films amateurs : reflets de notre bonheur

1. Observatoire du BonheurLes films amateurs : refletsde notre bonheur Août 2013

2. Étude réalisée pour l’Observatoire du Bonheur auprès de 1 022 personnes constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus. Le terrain a été réalisé du 23 au 24 août 2013. Échantillon interrogé par téléphone. Méthode des quotas : sexe, âge, catégorie socio professionnelle du chef de ménage, région et catégorie d’agglomération. Fiche technique Comme pour toute enquête quantitative, cette étude présente des résultats soumis aux marges d'erreur inhérentes aux lois statistiques. Ce rapport a été élaboré dans le respect de la norme internationale ISO 20252 « Etudes de marché, études sociales et d’opinion » Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

3. La réalisation de petits films amateurs Avez-vous déjà réalisé des petits films ou vidéos amateurs de votre famille, vos amis, etc.? Ensemble S/T Oui 49% Cadres : 66% Revenus supérieurs : 61% Base: A tous Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

4. La réalisation de petits films amateurs (détail) Avez-vous déjà réalisé des petits films ou vidéos amateurs de votre famille, vos amis, etc.? Base: A tous Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

5. Le type de scènes filmé Quel type de scènes filmez-vous le plus souvent ? Ensemble S/T Oui 84% Base: A ceux qui ont déjà réalisé des petits films amateurs * Item non suggéré Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

6. Le type de scènes filmé (détail) Quel type de scènes filmez-vous le plus souvent ? Base: A ceux qui ont déjà réalisé des petits films amateurs * Item non suggéré Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

7. Le finalité de la réalisation des films Pourquoi réalisez-vous ces films ? Ensemble Base: A ceux qui ont déjà réalisé des petits films amateurs Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

8. Le finalité de la réalisation des films (détail) Pourquoi réalisez-vous ces films ? Base: A ceux qui ont déjà réalisé des petits films amateurs Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

9. Le partage des films Ces films, vous les partagez… Ensemble S/T Réseaux sociaux 16% Base: A ceux qui ont déjà réalisé des petits films amateurs * Item non suggéré Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

10. Le partage des films (détail) Ces films, vous les partagez… Base: A ceux qui ont déjà réalisé des petits films amateurs Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

11. Filmer et partager : un accélérateur de Bonheur ? Pour vous, la possibilité qu’on a aujourd’hui de filmer à l’infini avec un téléphone ou une tablette et de partager immédiatement ces films par Internet, c’est plutôt… Ensemble Base: A tous Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

12. Filmer et partager : un accélérateur de Bonheur ? (détail) Pour vous, la possibilité qu’on a aujourd’hui de filmer à l’infini avec un téléphone ou une tablette et de partager immédiatement ces films par Internet, c’est plutôt… Base: A tous Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

13. En résumé… Les Français sont nombreux à réaliser des films amateurs Près d’un Français sur deux (49%) a déjà réalisé des petits films amateurs de sa famille, de ses amis ou autres. Ils sont 28% a en avoir réalisé au cours de la dernière année. Cette proportion varient en fonction de l’âge. Ceux qui filment le plus sont les 25-34 ans (61%) et les 35-44 ans (66%). C’est à ces âges que les couples se forment et où les enfants font leurs apparitions. Le nombre de cinéastes amateurs recule dans les tranches 45-59 (45%), et 60 et plus (33%). Deux hypothèses pour expliquer ce recul : 1/ Les plus âgés sont moins enclins à utiliser les technologies permettant de réaliser ces films 2/ A partir de 45 ans, les enfants sont devenus adultes, et donc moins « filmogéniques ». Un écart générationnel qui se retrouve également dans les usages. Les premiers sujets des films amateurs sont les évènements familiaux ou amicaux (à 69%). Ce type d’événements est surtout filmé par les 35-44 ans (73%) et les 45-59 ans (74%, contre 53% 15-24 ans). Les plus jeunes filment plus régulièrement des scènes insolites ou comiques (25%, contre 5% des 45-59 ans et 4% des 60 ans et plus). La finalité des films amateurs varie également avec l’âge, même si une tendance d’ensemble se forme : 49% des personnes interrogées filment principalement pour se donner la possibilité de revivre des moments de bonheur. Cette proportion passe à 63% chez les 15-24 ans, qui veulent sans doute profiter de leur jeunesse, et à 56% chez les plus de 60 ans, qui semblent aimer pouvoir revivre les bons moments de leur vie. Dans un second temps, les personnes interrogées filment pour transmettre à leurs enfants (25%, 35% des 35-44 ans) ; puis pour partager avec les personnes absentes (24%, 32% des 15-24 ans et 30% des 25-34 ans). Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013

14. En résumé… Des films amateurs aussi faits pour être partagés Essentiellement avec les proches (à 80%), mais aussi sur les réseaux sociaux. 16% des Français utilisent les réseaux sociaux pour partager leurs vidéos. Cette proportion est naturellement plus élevée chez les plus jeunes (25% des 15-24 ans), mais le phénomène est également fréquent chez leurs ainés : 17% des 35-44 ans partagent leurs films sur les réseaux sociaux et 10% des 45-59 ans. Les résultats de l’enquête mettent en évidence la prudence des personnes interrogées quant à la mise en ligne de leur données personnelles. Dans l’ensemble, rares sont celles qui partagent leurs vidéos avec tout le monde sur Internet (2% seulement, 5% des 15-24 ans). La technologie creuse l’écart entre les générations Au final, les Français sont partagés sur l’arrivée des nouvelles technologies dans l’univers du film amateur, et notamment sur la possibilité qu’ils ont désormais de filmer à l’infini avec un téléphone ou une tablette et de partager immédiatement ces films par Internet. Pour 43% des personnes interrogées, cela représente un accélérateur de bonheur, qui permet de laisser libre cours à la créativité, contre 47% pour qui c’est au contraire un frein au bonheur, puisque ces films se banalisent. Le « gap » générationnel est particulièrement net sur cette question : les nouvelles générations, plus familières de ces technologies, estiment que ces techniques peuvent faciliter l’accès au bonheur (60% chez les 15-24 ans, et 51% chez les 25-34 ans, contre seulement 38% des 45-59 ans et 31% des 60 ans et plus). Ipsos pour l’Observatoire du bonheur, soutenu par Coca-Cola – Août 2013