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LES CONTRACTIONS REPETEES

LES CONTRACTIONS REPETEES. Définition Il s’agit par un étirement bref du muscle en contraction de sur-imposer un réflexe myotatique à la contraction volontaire, ceci de manière répétée dans la même diagonale. Indications

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LES CONTRACTIONS REPETEES

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Presentation Transcript


  1. LES CONTRACTIONS REPETEES • Définition Il s’agit par un étirement bref du muscle en contraction de sur-imposer un réflexe myotatique à la contraction volontaire, ceci de manière répétée dans la même diagonale. • Indications Ces contractions excentriques, sur un groupe musculaire faible, provoque une sommation spatiale qui recrute le maximum d’unités motrices disponibles, ceci est répété jusqu’à l’apparition d’une fatigue évidente. • 2 possibilités d’application - contraction répétée pour augmenter la force : dans l’amplitude musculaire favorable, c’est- à-dire en course moyenne, on impose des strechs réflexes avec des résistances de plus en plus importantes (ceci dépend de la courbe tensio) - contraction répétée pour les muscles faibles : on place le membre dans la fin d’une diagonale, on demande au sujet de tenir puis, à partir de là, on provoque des étirements en excentrique, ceci jusqu’à la course moyenne, puis on laisse le mouvement se terminer en concentrique

  2. Dessins cinétiques brisés Il s’agit, à partir d’un dessin cinétique, de situer la séquence motrice sur une articulation intermédiaire. 2 cas : - on part en position de départ et l’on fléchit au court de l’exercice = schéma tendu – plié - on part en position fléchit et l’articulation s’étend au cours du mouvement = schéma plié – tendu

  3. TECHNIQUE D’INVERSION LENTE • Description Il s’agit de provoquer une alternance d’un schéma agoniste puis d’un schéma antagoniste sans interruption entre les deux. Cette technique est basée sur la loi de l’induction successive de Sherrington : après une forte contraction de l’antagoniste, la puissance de l’agoniste est augmentée. • Application Une résistance maximale est opposée au groupe musculaire le plus fort dans toute l’amplitude et en concentrique, puis immédiatement et sans relâchement musculaire, le rééducateur provoque une contraction concentrique du groupe musculaire faible. • Intérêt - faciliter le mouvement des groupes musculaires faibles - améliorer la coordination motrice remarque : tous nos gestes se composent de mouvements aller – retour • Conclusion Cette technique, bien que reposant sur le même phénomène physiologique que la technique de stabilisation rythmique, travaille en dynamique et recherche donc la mobilité.

  4. TECHNIQUE DE STABILISATION RYTHMIQUE • Description Cette technique est basée sur l’induction successive et sur l’irradiation : des contractions alternées isométriques sont utilisées pour augmenter la capacité de co-contraction des groupes musculaires et la stabilité articulaire. • Application Le MK applique une résistance alternée rythmique successivement aux agonistes et aux antagonistes sans interruption. La rapidité d’alternance peut augmenter ainsi que la pression des mains du MK jusqu’à ce que la stabilité articulaire soit totale dans tous les plans. Il est indiqué d’ajouter une coaptation articulaire pour augmenter le réflexe de défense articulaire. • Intérêt Dans les techniques PNF (KABAT…), la stabilité précède la mobilité. Ces techniques de stabilisation seront utilisées avant les techniques de mobilisation, et ceux à chaque fois qu’il y en aura besoin. • Conclusion Cette technique, bien que reposant sur le même phénomène physiologique que la technique d’inversion lente, travaille en statique et recherche donc la stabilité.

  5. TECHNIQUE D’INITIATION RYTHMIQUE = technique pour améliorer la coordination et le contrôle de l’activité musculaire Elle se compose de 4 temps : 1) le mouvement est exécuté plusieurs fois passivement par le MK ordre : laissez vous faire et essayez de vous concentrer sur vos sensations pour le membre supérieur : suivez votre main remarque : refaire la même chose les yeux fermés 2) mouvement en actif aidé ordre : faites le mouvement avec moi (plusieurs fois) 3) actif résisté ordre : faites le mouvement contre moi (résistance maximale tolérée par le patient) (plusieurs fois) 4) le mouvement est fait par le patient pour qu’il perçoive la facilité acquise pour réaliser le mouvement remarques : - la technique « 1 » est la technique a utilisée pour une 1ère séance de KABAT - la technique d’initiation rythmique +++ pour parkinson, car la patient a du mal à démarrer le patient

  6. TRAVAIL DU MEMBRE INFERIEUR • Inversion lente puis rapide en appui unipodal A partir d’un membre inférieur lesté par une altère pédestre, nous allons travailler la mobilité de ce membre et la stabilité du membre inférieur d’appui. Le sujet est debout, il se stabilise par un appui d’un membre supérieur et nous demandons au sujet de faire des diagonales du membre inférieur. Le poids sur le membre inférieur mobile permet un étirement bref qui recrute le réflexe d’étirement et ainsi facilite le cycle étirement – raccourcissement ; en progression, l’inversion lente devient rapide, provoquant des freinages (contractions excentriques) de plus en plus intenses en fin de course ; puis en progression toujours, le poids est supprimé pour augmenter la vitesse et la coordination en inversion rapide. • Pour augmenter les réactions de stabilité – mobilité du membre inférieur Un membre inférieur en appui unipodal, l’autre membre inférieur pousse et tire un poids posé au sol.

  7. LES TECHNIQUES DE GAIN D’AMPLITUDE ARTICULAIRE POUR UNE LIMITATION D’ORIGINE MUSCULAIRE • Principe Tout étirement musculaire passif provoque le réflexe myotatique ; en pathologie, lorsque le muscle a perdu son extensibilité, ce phénomène est majoré et tout étirement passif provoque un réflexe de défense musculaire qui fige l’articulation  résultat inverse du but recherché. • L’inhibition après la contraction de l’agoniste = contracté – relâché Est aussi appelé « post-isométrique relaxation » (PIR). Principe : une contraction musculaire maximale est suivie d’un relâchement musculaire maximal.

  8. Déroulement : 1) mise en course externe du muscle non douloureux +++ (= dans l’amplitude limitée) 2) contraction intense isométrique du muscle que l’on veut inhiber pendant 6-10 secondes 3) à l’arrêt de la contraction, il existe pendant 3 à 6 secondes une période dite réfractaire pendant laquelle le muscle est inexcitable (le kiné palpe et contrôle l’inhibition) ; après ce temps, on effectue un allongement passif de quelques millimètres de façon imperceptible par le patient afin de ne pas déclencher de réflexe de défense 4) à partir de la nouvelle longueur musculaire, on répète la séquence 3 fois en tous Certains auteurs appellent cette technique contracté – relâché – étiré. Points clés - contrôle de l’inhibition - contraction isométrique - on gagne millimètre par millimètre L’inhibition pendant la contraction de l’antagoniste = innervation réciproque Principe : une contraction musculaire est suivie d’un relâchement musculaire maximal.

  9. Déroulement : 1) mise en course externe du muscle que l’on veut inhiber (infra-douloureux) 2) contraction intense de l’antagoniste en isométrique pendant 6 à 10 secondes ; le MK palpe et contrôle d’inhibition musculaire 3) à l’arrêt de la contraction musculaire, on effectue un allongement passif de quelques millimètres du muscle que l’on a inhibé (idem contracté – relâché : attention a ne pas réveiller le réflexe de défense) 4) à partir de la nouvelle longueur musculaire, on répète la séquence 3 fois en tous 5) pour augmenter le gain d’amplitude, il est possible, après la contraction isométrique, de laisser le sujet faire une contraction concentrique sur quelques millimètres pour gagner en amplitude (c’est pour cela qu’en PNF, cette technique s’intitule isométrique – isotonique)

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